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Il est loin le temps ou je jouais aux billes, au pied d’un arbre à grosses racines, il était tout comme moi, entouré d’asphalte et emprisonné dans sa terre. Moi un déraciné ? : Je t’emmerde ! J’y suis bien dans ma terre ! Mais trop d’asphalte m’empêche de respirer, Respire ma France que j’aime où les beaux jours manque à l’appel. Dix années d’hiver n’ont pas suffit a rendre mon cœur froid. J’y suis, j’y reste, je ne partirais pas et Marianne compte sur moi ! Du bout de mon verbe chaque jour, je lui dis que je l’aime. Rien ne me fera rejoindre mon père et le sien là bas de l’autre coter de la mer. Ici je m’accroche a trois rocher (comme un mollusque fuyant la mer) : liberté, égalité, fraternité ! Je n’écouterait plus le Pen, ce presque fantôme qui peu à peu prépare sa dernière tanière, pour lui et sa récolte de haine. A mesure que sa décrépitude s’annonce, ma joie exulte pour tout ce que je verrais, sans son regard sur nôtre monde. Qu’il fera bon sur le sol de France sans ces exhalaisons ! « Hé petit on ira rire sur sa tombe ! » d’ici là, économise tes joies gardons les, pour sa fin et la mort du SIDA ! Pour le chômage, faudra courber l’échine car nous sommes tous a sa merci… Travail gamin ! cultive toi, il ne le feront pas pour toi ; la grappe de singe en haut de l’arbre, ne nous laisse que des peaux de bananes… élève toi toi-même ! Prend le BAC au lieu de te faire serrer pas la BAC, à la nage tu te noiera. Ne tombe pas dans les abîmes du communautarisme. Les ramadans font du ramdam, ils ne veulent que dépecer ton âme à l’image de leur père, il prennent le monde pour une poubelle et veulent être son incendiaire. Tu as mieux à faire que d’être leur allumette ! Les petits suisses, joues les marionnettistes : c’est notre vie ! C’est nôtre France ! Laissez les nous ! Faux frère d’islam ! Les pileux de l’invertébré gazeux, ce trompe de route et ferait mieux de lire avec le cœur plustot qu’avec leurs c…...e. Le pied de la lettre manque d’esprit ! Est-ce tout ? Non sûrement pas, toi ta connerie de misogynie, d’antisémite, et d’homophobe qui réclame justice ?! On n’appel pas a la tolérance quand on est soit même un tortionnaire ! Lave ton âme couverte de bave. Réfléchis bien sur le racisme que tu génères ! Regarde ta sœur et ce que tu lui fais subir ; Quand dans la rue, tu te défoules dit toi bien que chaque femme que tu insultes, justifie ce que nous subissons tous. Et les homos que tu arbore n’en veulent pas au fondement de ta personne, Alors pourquoi ta haine nous rapproche t’il des le Pen ? L’antisémitisme en héritage ? Que diront nous à Abraham ? Que nous fûmes l’égal de notre frère non utérin, qui nous chassa du regard du père, est ce de là que nous vient cette haine ? Son héritage qui ce partage aux arabes le patriarcat et aux juif le matriarcat vaste bêtise depuis, cela nous suffit pour nous dire cousins ennemis, quel dommage ! Moi je me veut leurs frères je l’ai comprit par la shoah. Nous avons presque les mêmes prières et on est incapable de ce dire je t’aime… une fois passé tout ces obstacles, tu entrera dans la carrière ou leurs aîné ne traînent plus exit via case retraite. Que fera tu de tes victoires ? T’encartera tu au fhaine par souci d’intégration pour protéger tes fesses et les trente deniers de ton sale aire ? Soit un chien de garde ! protége ce que d’autres n’ont pas su faire. Ouvre les portes à ta future jeunesse que son ancêtre soit gaulois, numide ou perse. A l’age ou tout comme moi tu seras la France ! Parle leurs des ancêtres enfermé dans les hospices qu’ont t’il commis pour être ainsi trahit ? O toi ma grand-mère que je n’ai jamais connue ; je me dit que parmi eux ce trouve une femme comme toi les cheveux gris et ombrageux. Qui ce demande « où est mon petit fils ? ». Je t’adopte l’ancêtre ! Si tu veux de moi, des enseignements me manque, je voudrais savoir tellement de choses qui ne sont accessible qu’ont ceux de ton age, sur le sommet de leurs temps. Vivre avec la mort qui rode dans un parfum d’hôpital. Je pense que c’est la plus grande injustice de notre temps, pardonne moi, qui fait partie de la classe d’age que l’on appel « jeunesse ». Quelle tristesse que tant de choses nous séparent, alors que nos vanités ne sont que poussière.
